Jacques Welter, fondateur de l’agence et son associé Nicolas Felten, constatent que leurs clients prennent conscience de l’importance de communiquer en ligne. (Photo: Cropmark)

Jacques Welter, fondateur de l’agence et son associé Nicolas Felten, constatent que leurs clients prennent conscience de l’importance de communiquer en ligne. (Photo: Cropmark)

L’agence de communication print et web Cropmark fête, ce vendredi, ses 20 ans, sous le signe d’un déménagement et d’une recherche constante de s’adapter à ses clients.

Monsieur Welter, quels sont les grands défis de communication actuels des clients avec lesquels vous collaborez?

«Nous constatons une croissance de la conscience et une volonté de communiquer en ligne, tout en continuant à travailler avec des médias classiques. La fusion avec le studio digital Everything is Fun fut notre réponse à cette demande et nous permet de proposer des solutions à tous les niveaux.

Vous avez récemment déménagé dans de nouveaux locaux. Cela s’inscrit-il dans une nouvelle stratégie de développement?

«En effet, c’est un nouveau départ qui s’aligne dans les circonstances d’une année mouvementée; des départs et arrivées de collaborateurs, une restructuration pour renforcer le volet créatif, des challenges intéressants avec de nouveaux clients et, enfin, ce déménagement, avenue Gaston Diderich, dû à une fin de bail, après 20 ans au même endroit. Nous restons cependant fidèles à notre stratégie de flexibilité et continuons à voir les nouveaux défis comme une chance d’avancer pas à pas.

Que pensez-vous de la nouvelle signature du pays «Let’s make it happen», présentée le 10 octobre dernier?

«J’aimerais éviter de me prononcer sur le travail des deux agences confrères que j’apprécie beaucoup. Leur courage de s’engager dans un projet très médiatisé avec une thématique émotionnellement chargée mérite le respect. La signature en elle-même reflète plutôt le non-courage des décideurs à aller plus loin.»