De gauche à droite, Stéphane Pallage, recteur de l’Université du Luxembourg, Marc Hansen, ministre délégué à l’Enseignement supérieur et à la Recherche, et Yves Elsen, président du conseil de gouvernance de l’Université du Luxembourg. (Photo: Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche)

De gauche à droite, Stéphane Pallage, recteur de l’Université du Luxembourg, Marc Hansen, ministre délégué à l’Enseignement supérieur et à la Recherche, et Yves Elsen, président du conseil de gouvernance de l’Université du Luxembourg. (Photo: Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche)

Les réflexions vers une école de médecine avaient été évoquées de longue date, mais l’idée d’un cycle complet n’avait pas été retenue. En revanche, c’est bien l’idée d’ouvrir la première partie des études en médecine au Luxembourg et d’offrir des passerelles à l’étranger qui a été retenue. Via des accords signés avec d’autres universités (Lorraine, Strasbourg, Paris V et Paris VI sont citées).

La signature a été apposée par le gouvernement, représenté par le ministre délégué à l’Enseignement supérieur et à la Recherche, Marc Hansen, et par l’Université, représentée par le président du conseil de gouvernance, Yves Elsen, et le recteur, Stéphane Pallage.

Un premier cycle des études médicales, à partir de l’année académique 2020/2021.

Gouvernement luxembourgeois

La convention permet de déployer des activités d’enseignement et de recherche dans le domaine de la médecine de 2018 à 2021 avec une dotation supplémentaire de 26,4 millions d’euros qui s’ajoute aux montants déjà alloués en janvier.

«Dans le cadre de cette convention, l’Université mettra en place un premier cycle des études médicales (type bachelor), à partir de l’année académique 2020/2021, avec un accent sur des concepts d’enseignement moderne et en partenariat avec des universités à l’étranger, afin d’y assurer l’accès, pour les diplômés concernés, au deuxième cycle des études médicales», précise le communiqué du gouvernement. 

Une évaluation sera ensuite effectuée, «afin d’étudier l’option de mettre en place au Luxembourg un deuxième cycle des études médicales (type master)», ajoute le communiqué.

À noter que l’Université développera les formations spécialisées en oncologie et en neurologie à partir de l’année académique 2019/2020.