L’évolution de la transmission de l’information a conduit à la naissance de cette association. (Photo: Shutterstock)

L’évolution de la transmission de l’information a conduit à la naissance de cette association. (Photo: Shutterstock)

L’Association luxembourgeoise des médias d’information vient de voir le jour dans le prolongement de l’Association luxembourgeoise des éditeurs de journaux.

Les métiers de l’information évoluent, les canaux sur lesquels elle est délivrée également. C’est pour correspondre à cette évolution que l’Association luxembourgeoise des médias d’information (Almi) vient de voir le jour.

L’Almi remplace ainsi l’Association luxembourgeoise des éditeurs de journaux (Alej) qui, comme son nom l’indique, était consacrée aux titres imprimés.

Voici donc l’Almi, qui rassemble désormais aussi les maisons d’édition et les médias audiovisuels autour d’un mot-clé: l’information, celle-ci se déclinant de plus en plus en digital.

«L’Alej n’avait plus vraiment raison d’être dans un monde digitalisé, nous cherchions à lui donner une suite pour regrouper les maisons d’édition qui sont admises au Conseil de presse et pas uniquement les médias imprimés», résume Paul Peckels, directeur général de Saint-Paul Luxembourg et premier président de l’Almi. «Nous voulions nous fédérer non pas pour faire du lobbying, mais pour avoir une association parallèle à celle des journalistes. Nous représenterons aussi le Luxembourg dans des associations européennes d’éditeurs de journaux et d’information.»

L’Almi sera l’association correspondante pour l’ (ENPA) et la (Wan-Ifra).

Les médias et éditeurs membres de l’Almi sont ceux qui emploient des journalistes avec des cartes de presse et qui bénéficient actuellement de l’aide à la presse: Saint-Paul Luxembourg, RTL Group, Editpress, Radio 100,7, Edita, Maison Moderne, Lumedia, Woxx, Lëtzebuerger Journal, d’Lëtzebuerger Land, Reporter, Zeitung vum Lëtzebuerger Vollek.