«Quand j’écoute les gens autour de moi, j’ai l’impression qu’il y a un certain ras-le-bol des réseaux sociaux comme ils existent aujourd’hui.» (Photo: DR)

«Quand j’écoute les gens autour de moi, j’ai l’impression qu’il y a un certain ras-le-bol des réseaux sociaux comme ils existent aujourd’hui.» (Photo: DR)

En amont de l’événement «Start-up Stories: Round 5» organisé par le Paperjam Club en partenariat avec Lorntech et parrainé par la Bil, le jeudi 21 novembre au 112 (Terville), l’un des start-upper, Gilles Springer (Boook) nous explique sa vision de l’entreprise.

D’où vous est venue l’idée de votre start-up?

Gilles Springer. - «Un soir en vacances avec ma famille, on s’est retrouvé dans un petit village Breton à Dinard. On ne savait pas quoi faire, et par hasard, on est tombé sur une fête médiévale.

Je pense que ce genre de situation vous est déjà arrivé, se retrouver à un endroit que vous ne connaissez pas et que vous cherchez quoi y faire.

De là m’est venue l’idée de créer un média social qui vous tiendra informé de ce que d’autres personnes vivent autour de vous.

De l’idée à sa concrétisation, il n’y a qu’un pas… et pourtant. Quel a été l’élément déclencheur de votre aventure entrepreneuriale?

«Quand j’écoute les gens autour de moi, j’ai l’impression qu’il y a un certain ras-le-bol des réseaux sociaux comme ils existent aujourd’hui, et qu’ils aimeraient que les choses changent. Je pense que c’est le bon moment pour que les personnes adhèrent à une nouvelle façon de faire du réseau social, un réseau social propre.

La constitution d’une équipe a été également un des facteurs déterminants. J’ai senti que je pouvais faire de grandes choses avec ces personnes.

On entend souvent qu’il est essentiel de faire des erreurs. Qu’en pensez-vous?

«Je pense que les erreurs font partie de la vie d’un entrepreneur. On apprend peu du succès et beaucoup de l’échec. Ayant déjà fait certaines erreurs dans mes anciennes expériences entrepreneuriales, je pense que je ne les ferai plus. En tout cas, je ferai autrement.

Ces différentes expériences de l’échec m’ont aidé à acquérir une certaine maturité. Aujourd’hui, j’ai intégré l’obtention d’échecs ou de succès dans ma méthode de travail, afin d’atteindre mes objectifs.»

Vous pouvez vous inscrire à l’événement «Start-up Stories: Round 5» sur le site du    

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