«Ayant moi-même des enfants en bas âge, que je confie à une crèche, cela me tenait à cœur de concevoir une plate-forme qui puisse aider à recréer du lien au sein même des familles.» (Photo: Aqoona)

«Ayant moi-même des enfants en bas âge, que je confie à une crèche, cela me tenait à cœur de concevoir une plate-forme qui puisse aider à recréer du lien au sein même des familles.» (Photo: Aqoona)

En amont de l’événement «Start-up Stories: Round 5» organisé par le Paperjam Club en partenariat avec Lorntech et parrainé par la Bil, le jeudi 21 novembre au 112 (Terville), l’un des start-upper, Razek Akir (Aqoona) nous explique sa vision de l’entreprise.

D’où vous est venue l’idée de votre start-up?

«L’idée est venue d’un constat extrêmement simple: la société évolue et le train de vie que cette évolution impose nous demande d’être de plus en plus mobiles, de plus en plus actifs. Ce changement se fait très souvent au détriment du temps passé avec notre famille et en particulier avec nos enfants. Ayant moi-même des enfants en bas âge, que je confie à une crèche, cela me tenait à cœur de concevoir une plate-forme qui puisse aider à recréer du lien au sein même des familles.

Aqoona a donc été créée avec cette idée qu’il était important que les parents notamment puissent comprendre la pédagogie de la structure d’accueil, la façon dont sont mises en place les activités. Ils peuvent ainsi mieux saisir ce que leurs enfants font, la manière dont ils s’éveillent et comment ils apprennent à interagir ensemble.

Quelles sont les qualités nécessaires pour lancer sa start-up?

«Selon moi, l’aventure que représente le lancement d’une start-up nécessite trois qualités fondamentales. Dans un premier temps, il est nécessaire d’avoir une confiance absolue en soi et en son projet. Le deuxième point, qui est, à mon sens, lié au premier, est de rester déterminé quoiqu’il arrive.

Lancer une start-up, c’est être sur des montagnes russes en permanence! Enfin, il est très important d’être polyvalent. Monter sa start-up demande d’être sur tous les fronts: on est focalisé sur son produit/service, sur ses clients, sur ses fournisseurs… Pour gérer tout cela, il est obligatoire d’être organisé et de savoir planifier.

On entend souvent qu’il est essentiel de faire des erreurs. Qu’en pensez-vous?

«C’est vrai qu’on dit souvent que généralement, on apprend de ses erreurs. Il m’arrive d’en faire un certain nombre et j’en ferai encore certainement beaucoup. L’important est de ne pas se remettre systématiquement en question lorsqu’on se trompe. Certaines erreurs sont juste des étapes vers le but fixé. En ce qui me concerne, je trouve qu’il est naturel de commettre des erreurs. La règle d’or est surtout de ne jamais commettre deux fois la même!»

Vous pouvez vous inscrire à l’événement «Start-up Stories: Round 5» sur le site du   

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