Le CEO de la Lhoft, Nasir Zubairi, l’an dernier, pour la deuxième édition de Catapult: Inclusion Africa. (Photo: Dave Emnett)

Le CEO de la Lhoft, Nasir Zubairi, l’an dernier, pour la deuxième édition de Catapult: Inclusion Africa. (Photo: Dave Emnett)

Après le succès des deux premières saisons de Catapult à destination de l’Afrique, la Lhoft et le ministère de l’Économie lancent un deuxième programme d’accélération, Catapult: Kickstarter, quatre semaines pour accélérer la digitalisation des acteurs traditionnels du secteur financier.

L’initiative était originale: elle a très bien «pris». La Luxembourg House of Financial Technology s’était lancée, il y a deux ans, dans une nouvelle idée: amener entre ses murs des entrepreneurs africains et les aider à développer leur business avec des mentors locaux, en créant aussi des connexions à tous les points de vue. 24 fintech forment aujourd’hui une communauté d’alumni, au sein de laquelle la moitié ont pu lever des fonds pour poursuivre leur développement.

Évidemment, 2020 a un peu contrarié le développement de ce projet, mais 2021 le voit revenir plus fort. Avec le soutien du ministère de l’Économie, de la Direction de la coopération au développement et de l’action humanitaire et du ministère des Finances, non seulement la Lhoft lance la troisième édition de son programme Catapult, désormais intitulé «Catapult: Inclusion Africa», mais lance son petit frère, Catapult: Kickstarter.

Le premier réunira virtuellement 15 start-up du 18 au 28 mai autour de l’inclusion, quel que soit le type de technologie des fintech, avant un programme de trois jours en fin d’année à l’occasion de l’Exposition universelle de Dubaï. .

Le second s’adresse à 10 start-up en B2B, dans les domaines des regtech, wealthtech, insurtech et cybersécurité, qui utilisent la blockchain, l’intelligence artificielle et le big data. Le programme se tiendra pendant quatre semaines, du 1er au 25 juin, et . Cinq des 10 start-up recevront 50.000 euros de subsides du ministère de l’Économie.