Les réussites des premiers catapulteurs ont incité la Lhoft à préparer la deuxième édition, qui aura lieu pendant la première semaine de mars. (Photo: Shutterstock)

Les réussites des premiers catapulteurs ont incité la Lhoft à préparer la deuxième édition, qui aura lieu pendant la première semaine de mars. (Photo: Shutterstock)

Au moment où la Lhoft annonce l’organisation de la deuxième édition de son programme Catapult pour les fintech africaines, la première promotion vole de succès en succès.

La Luxembourg House of Fintech (Lhoft) n’a pas vocation à se regarder le nombril et ne s’intéresser qu’au Luxembourg. Sous la conduite de , et depuis le début, elle ne cesse de se mettre en réseau avec d’autres écosystèmes, même concurrents, ou d’imaginer de nouvelles manières d’aborder ces sujets.

La première édition de Catapult, son programme de soutien à des fintech africaines, a été un succès, et . La responsable du marketing, Manon Loison, prendra la direction du Burkina Faso, du 21 au 25 octobre, aux côtés d’Ada à la Semaine de la microfinance pour commencer à inviter les porteurs de projets à venir participer au programme luxembourgeois.

Son principal «argument de vente» viendra certainement des bons résultats enregistrés par ceux de la première édition. 

Derrière Koosmik, qui a levé deux millions d’euros pour son application mobile à destination des non-bancarisés, Oko (Israël) a pour le design de produits d’assurance pour les petits fermiers. Mi-septembre, , ce qui lui offre une belle visibilité.

Ovamba (États-Unis), qui donne accès à court terme à des micro-entreprises ou PME en Afrique, capitaux qu’elle collecte auprès d’investisseurs internationaux, . La banque nigériane a plus de 750 succursales en Afrique dans près de 20 pays.

Inclusivity Solutions (Afrique du Sud), qui fournit des produits d’assurance aux plus démunis avec des solutions innovantes de distribution, , pour continuer à développer son activité.

Enfin, Akiba Digital (Afrique du Sud)  à la bonne gestion financière par la gamification.