À l’occasion du salon Vivatech, les innovations santé ont été particulièrement remarquées, des évolutions pour accompagner les patients mais également les médecins. (Photo: Shutterstock)

À l’occasion du salon Vivatech, les innovations santé ont été particulièrement remarquées, des évolutions pour accompagner les patients mais également les médecins. (Photo: Shutterstock)

Emmanuel Vivier et le HUB Institute vous proposent chaque jour le #HUBRADAR, une sélection des tendances et des meilleures innovations technologiques en deux articles.

«Les femmes peuvent et vont améliorer notre vision de la technologie. C’est pourquoi nous souhaitons leur offrir une grande place d’expression.» Sur la Stage One de Vivatech, Pierre Louette, PDG du groupe Les Échos, rappelle l’ambition de l’événement en matière «d’empowerment» féminin.

Alors qu’elles ne sont que 27% à travailler dans les métiers du numérique, Vivatech compense en imposant 40% de participantes féminines sur ses scènes de conférence, et notamment la Start-up Stage, à majorité féminine. Car non seulement les femmes travaillent dans la technologie, mais elles sont aussi des entrepreneuses accomplies comme en témoigne Julie Chapon, la fondatrice de Yuka (l’app de food scanning). Puisqu’on en parle, le secteur de la foodtech a été l’un des principaux leviers de la participation féminine cette année.

«Votre santé est trop importante pour que vous la mettiez entre les mains d’un humain. Confiez-la à la technologie», annonce Shai Efrati, du Sagol Center for Hyperbaric Medicine and Research. À l’occasion de Vivatech, les innovations santé ont été particulièrement remarquées. Parmi les projets les plus prometteurs, on retrouve Twiice, l’exosquelette qui redonne leur motricité aux paraplégiques; Da Vinci, le robot chirurgical déjà présent dans près de 5.000 blocs opératoires à travers le monde, et Ultimaker.

Plus qu’une imprimante 3D, Ultimaker repose surtout sur une technique de Sanofi pour concevoir des médicaments sur mesure. «L’objectif est d’être capable de personnaliser la dose», explique Jean Alié, chargé de la R&D chez Sanofi Montpellier. Une panoplie d’outils technologiques d’autant plus étoffée dans notre rapport de tendances.

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