Sergio Carvalho: «Le Paperjam Club offre une vue transversale et traite des sujets qui préoccupent les entreprises et décideurs au Luxembourg.» (Photo: 2001)

Sergio Carvalho: «Le Paperjam Club offre une vue transversale et traite des sujets qui préoccupent les entreprises et décideurs au Luxembourg.» (Photo: 2001)

Pouvez-vous, en quelques mots, résumer l’activité de votre société? 

«2001 est une société d’architectes. L’abstraction de son nom symbolise toutes ses ambitions d’opérer discrètement et servir stratégiquement à – et dans l’environnement pratiqué par la société.

Cet environnement se définit par des champs d’intérêts, d’activités et d’échelles: territoires, bâtiments, espaces et idées. 2001 pense et produit une architecture réduite à l’essentiel, répondant de manière rationnelle, cohérente et prospective aux urgences et besoins de la société contemporaine.

Vous venez de renouveler votre adhésion au Paperjam Club. Quelles sont les raisons qui vous ont poussé à le faire?

«Le Paperjam Club offre une vue transversale et traite des sujets qui préoccupent les entreprises et décideurs au Luxembourg. Il reflète ainsi l’activité socio-économique du pays et est un outil pour se tenir au courant et se former aux thématiques chères aux différents secteurs qui y sont représentés. Les événements organisés par le Club sont une opportunité inédite au Luxembourg permettant de lier l’utile à l’agréable, et promouvoir l’innovation et le progrès.

Qu’y recherchez-vous? Et que pensez-vous pouvoir proposer aux membres que vous allez y rencontrer? 

«Le Paperjam Club offre un terrain propice aux échanges transsectoriels d’idées. Dans ce cadre, 2001 peut y apporter son approche progressive et holistique de la production spatiale et de la construction contemporaine en tant que bureau d’architecture basant sa pratique sur la recherche et la mise en place de concepts novateurs.»