Agnès et Sébastien Rouillaux: «En rejoignant le Paperjam Club, nous recherchons une ouverture d’esprit (via les thèmes de ses conférences), ainsi que la connaissance du pays et du business au-delà du nôtre.» (Photo: Craft et Compagnie)

Agnès et Sébastien Rouillaux: «En rejoignant le Paperjam Club, nous recherchons une ouverture d’esprit (via les thèmes de ses conférences), ainsi que la connaissance du pays et du business au-delà du nôtre.» (Photo: Craft et Compagnie)

Madame et Monsieur Rouillaux, pouvez-vous, en quelques mots, résumer l’activité de votre société?

«Craft et Compagnie est une société de conseil et de commercialisation de ‘champagnes d’artisans vignerons d’exception’ au Luxembourg. Nous sommes curieux et à l’affût de nouvelles découvertes, et notre ambition est de donner accès à une génération de talentueux vignerons, hommes et femmes passionnés, respectueux de leur terroir et créateurs de vins authentiques au goût inégalable. Notre sélection est autant de secrets à partager, de goûts à transmettre, d’émotions à communiquer. 

Vous venez de rejoindre le Paperjam Club. Quelles sont les raisons qui vous ont poussés à le faire?

«Installés au Luxembourg depuis deux ans, nous démarrons ‘de zéro’, à 40 ans, sur un projet passion. Nous ne connaissons pas grand monde à Luxembourg et essayons par tous les leviers de faire vivre notre projet, de donner ‘envie’ et de faire ‘partager’ notre univers. Le Paperjam Club nous a semblé être un bon moyen de tisser une partie de notre réseau d’amateurs de champagnes.

Qu’y recherchez-vous? Et que pensez-vous pouvoir proposer aux membres que vous allez y rencontrer?

«En rejoignant le Paperjam Club, nous recherchons une ouverture d’esprit (via les thèmes de ses conférences), ainsi que la connaissance du pays et du business au-delà du nôtre. Nous pouvons sembler être des ‘électrons libres’ par rapport aux profils habituels de ses membres. Nous n’avons donc pas la prétention de leur apporter grand-chose, si ce n’est un accès à des plaisirs gustatifs, à de l’authenticité ou encore à une bouffée d’oxygène champenoise.»