Tocrop intègre le Paperjam Club.  (Photo: Tocrop)

Tocrop intègre le Paperjam Club.  (Photo: Tocrop)

Monsieur Benoit du Rey, pouvez-vous, en quelques mots, résumer l’activité de votre société?

«Tocrop importe des produits innovants suisses, améliorant la santé au travail, la qualité de vie à la maison et l’écologie à la ferme.

  • Si vous dormez mal et qu’en conséquence, vos journées sont pénibles;
  • Si vous souhaitez réduire les intrants chimiques que vous utilisez dans vos espaces verts, jardins ou fermes;
  • Si vous souhaitez réduire la fatigue de vos salariés devant les écrans où lors des longs trajets en véhicule;
  • Si vous êtes électrosensible ou femme enceinte;
  • Si vous souhaitez réduire les gaspillages dans votre frigo;
  • Nos différentes solutions vont vous rendre la vie bien plus agréable, plus sûre et plus heureuse.

Vous venez de rejoindre le Paperjam Club. Quelles sont les raisons qui vous ont poussé à le faire?

«J’avais entendu dire par des amis entrepreneurs que Paperjam soutenait les entreprises innovantes en les aidant à s’inclure dans l’écosystème luxembourgeois, en organisant des événements conviviaux et informatifs. J’ai donc voulu prendre le train en marche et essayer de contribuer positivement à ce dynamisme. Pour une jeune société, c’est aussi un gage de notoriété aidant à se faire connaître.

Qu’y recherchez-vous? Et que pensez-vous pouvoir proposer aux membres que vous allez y rencontrer?

«Je ne conçois pas ce club comme une société à sens unique où les nouveaux comme moi viennent juste chercher des clients. Comme société proposant des produits innovants, au standard de qualité suisse, je souhaite plutôt apporter une nouveauté et une réciprocité: si je peux découvrir des gens sympathiques et dynamiques, aider en retour en partageant des expériences, en donnant des contacts pour que le Club s’enrichisse de l’apport de chacun, ce serait une source de valeur ajoutée au-delà du simple échange de convenance.

Je pense aussi qu’à Luxembourg, les entreprises partent en ordre un peu trop dispersé à la conquête des marchés extérieurs et qu’il y a matière à peut-être créer une meilleure coordination.

Je recherche aussi d’autres personnes souhaitant équilibrer comme le fait Tocrop, leurs émissions de carbone en plantant des arbres en Mongolie, permettant ainsi de sauver des espèces rares, comme l’ours du Gobi.»