Q8 assume la vente de l'essence mais ne souhaite pas que le personnel des stations où le comptoir est garni d'alcool montre encore son logo. C'est le buzz de la semaine... (Photo: Charles Caratini / Q8 / archives)

Q8 assume la vente de l'essence mais ne souhaite pas que le personnel des stations où le comptoir est garni d'alcool montre encore son logo. C'est le buzz de la semaine... (Photo: Charles Caratini / Q8 / archives)

L’alcool en désamour chez Q8. Le sujet est à la fois dans l’air parfois chahuté du temps et pas banal dans ce qu’il approche le marché, plutôt célèbre, des stations-service luxembourgeoises sous un angle inédit… Et cette histoire d’employés, priés de ne plus porter le logo de la compagnie koweïtienne derrière le comptoir proposant notamment à la vente de l’alcool, a fait le buzz. C’est en tout cas l’article le plus lu de la semaine écoulée, sur Paperjam.lu. Pour être complet, il faut souligner que ce sujet relayait un reportage de nos confrères du Quotidien, paru le matin même. Et que les médias sociaux ont été très friands de cette information surprenante.

Moins décalé, mais pratiquement autant lu sur notre site web, le sujet sur la société à 191 euros, la sàrl simplifiée, est monté sur la deuxième marche du podium. Il a surtout fait un score tonitruant, immédiatement, via Twitter et Facebook en particulier.

En guest star dans le Top 3 de la semaine, on retrouve… Monica Bellucci. L’actrice, citée dans une affaire de société civile immobilière établie au Luxembourg, a attiré les regards, à son corps défendant, sur Paperjam.lu.

Très lus aussi, les articles sur la liaison TGV vers Marseille et sur Alain Kinsch (EY) candidat au Conseil d’État.

Ensuite, dans un mouchoir de poche, on retrouve encore, en vrac, le retour du Srel avec François Bausch à la cause, le retour en fonction de Marc Thewes ou le nouvel écrin inauguré de KPMG.

Une dernière mention, qui risque de revenir dans le décompte de la semaine prochaine (l’article sorti en fin de semaine pourra encore beaucoup tourner…): elle va au fameux «zèle fiscal belge» à l’encontre des frontaliers, dont la fin se rapproche à en croire les accords scellés à Bruxelles entre les deux Premiers ministres libéraux, Charles Michel et Xavier Bettel.