C’est Erica Worsley, bénévole dans un foyer d’accueil, qui est derrière cette nouvelle adresse. (Photo: Patricia Pitsch)

C’est Erica Worsley, bénévole dans un foyer d’accueil, qui est derrière cette nouvelle adresse. (Photo: Patricia Pitsch)

En France ou au Canada, les syndicats de l’hôtellerie-restauration se proposent de faciliter l’embauche des réfugiés pour faire face à la pénurie de main-d’œuvre dans le secteur. Au Luxembourg, plusieurs initiatives les poussent à ouvrir leur propre restaurant. 

C’est la Britannique Erica Worsley, bénévole dans un foyer d’accueil, qui est derrière cette nouvelle adresse.

Désormais, le Julia Dumna est cogéré par Kenan Hussien, un entrepreneur venu de Homs en Syrie. C’est d’ailleurs de Homs que vient le nom du restaurant. «Julia Dumna était la femme d’un empereur romain au 2e siècle. Originaire de Homs, elle a eu beaucoup de pouvoir et elle a gouverné avec son fils Caracalla», retrace-t-il. Une manière de saluer l’importance des femmes, notamment dans la cuisine où chef Sabah, d’Alep, dirige l’équipe.

Elle a apporté ses recettes familiales, quelque peu adaptées aux palais européens. On découvrira ainsi avec plaisir toute la gamme des mezzes froids (houmous, baba ganoush, feuilles de vigne, moutabal…) et chauds (halloumi grillé, feuilletés aux épinards, à la viande ou au fromage, falafels…), des salades, des grillades (dont le shish tawook au poulet, le kofta au bœuf et à l’agneau…).

Le midi, un buffet propose ces spécialités pour 20€, alors que le soir, on mangera à la carte. Les mezzes sont généralement à 7€ la portion et les grillades entre 18 et 22€.

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