David Wagner: «L’engagement politique est toujours un engagement collectif.» (Photo: déi Lénk)

David Wagner: «L’engagement politique est toujours un engagement collectif.» (Photo: déi Lénk)

Ma vertu préférée: La fierté.

Mon principal défaut: Une certaine indolence...

Mon occupation préférée: Aller au restaurant avec des amis et me retrouver dans certains cafés «débranchés». Rencontrer des personnes et laisser mon sort à la nuit.

Les trois forces que doit avoir un bon politicien: La patience, l’impatience… et savoir combiner les deux.

Mon premier acte militant: Mon refus d’aller me confesser à la veille de Pâques, car j’estimais n’avoir commis aucun pêché. J’avais neuf ans.

Mon coup de maître en politique: L’engagement politique est toujours un engagement collectif. Je n’ai pas l’arrogance de pouvoir prétendre à la réalisation de «coups» par moi-même.

La qualité que je préfère chez un homme: La bonté.

La qualité que je préfère chez une femme: La détermination.

Ce que j'apprécie le plus chez mes amis: La robustesse de leurs convictions et le sens qu’ils leur donnent.

Mes héros/héroïnes dans la fiction: L’inspecteur Columbo.

Mes héros/héroïnes dans la vie réelle: Certains de mes ancêtres qui ont émigré d’Espagne, d’Italie ou du Brésil pour se retrouver à Marseille. Leurs luttes furent incessantes.

Mes héros/héroïnes dans l’Histoire: Du Christ à Hugo Chávez en passant par Robespierre. Tous ceux qui chamboulent l’ordre établi par les puissants du moment.

Le don de la nature que je voudrais avoir: L’invisibilité.

Les fautes qui m'inspirent le plus d'indulgence: Celles dues à la naïveté.

Les fautes impardonnables: Écraser les humbles lorsque l’on est puissant.

Mon rêve de bonheur: L’absence de contraintes.

Quel serait mon plus grand malheur? L’absence d’espoir.

Ce que je voudrais que l’on dise de moi dans 50 ans: Tu ne fais pas ton âge!

Si je n’étais pas ce que je suis, je voudrais être: Écrivain ou danseur de flamenco. Ou les deux, ce n’est pas interdit.

Ma devise: «Une idée devient une force lorsqu’elle s’empare des masses.» (Karl Marx)