De gauche à droite: Jan Jambon, vice-Premier ministre, ministre de la Sécurité et de l’Intérieur du Royaume de Belgique; Koen Geens, ministre de la Justice du Royaume de Belgique; Étienne Schneider, vice-Premier ministre, ministre de la Sécurité intérieure; Félix Braz, ministre de la Justice; Ferdinand Grapperhaus, ministre de la Justice et de la Sécurité néerlandaises. (Photo: Police fédérale belge)

De gauche à droite: Jan Jambon, vice-Premier ministre, ministre de la Sécurité et de l’Intérieur du Royaume de Belgique; Koen Geens, ministre de la Justice du Royaume de Belgique; Étienne Schneider, vice-Premier ministre, ministre de la Sécurité intérieure; Félix Braz, ministre de la Justice; Ferdinand Grapperhaus, ministre de la Justice et de la Sécurité néerlandaises. (Photo: Police fédérale belge)

Si le Benelux peine parfois à vivre concrètement entre les différentes échelles de collaborations entre pays, les ministres en charge du volet Sécurité réunis à Bruxelles ont voulu donner un signal fort en matière de coopération policière. 

Ce traité remplace le traité du 8 juin 2004. Il fait suite à une déclaration politique du 18 novembre 2016 et vise à renforcer cette coopération, notamment en matière de poursuite et de recherches transfrontalières. L’objectif est aussi d’optimiser l’échange d’informations au sein de ce que les responsables politiques qualifient de «laboratoire».  

Étienne Schneider, vice-Premier ministre et ministre de la Sécurité intérieure, ainsi que le ministre de la Justice, Félix Braz, ont signé cet accord ce lundi au palais d’Egmont à Bruxelles.