Donald Tusk l’a annoncé aux alentours de 4h30 ce vendredi: les 28 dirigeants de l’Union européenne ont abouti à un accord sur l’épineux dossier migratoire, malgré les blocages de l’Italie qui voulait d’abord que ses demandes soient entendues avant toute avancée sur le sujet.
<blockquote class="twitter-tweet" data-lang="fr"><p lang="it" dir="ltr">Arriviamo a questo Consiglio EU con proposte ragionevoli e in linea con spirito e principi europei.<br><br>In questi anni l’Italia ha ricevuto manifestazioni di solidarietà a parole. Ora basta. Questa è l’occasione in cui tutti possono finalmente dimostrare la solidarietà con i fatti.</p>— GiuseppeConte (@GiuseppeConteIT) <a href="https://twitter.com/GiuseppeConteIT/status/1012309493240225792?ref_src=twsrc%5Etfw">28 juin 2018</a></blockquote>
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Selon le communiqué publié par les instances européennes, l’accord vise à mieux protéger les frontières et à créer, sur base volontaire, des centres d’accueil sur le sol européen et d’examiner les possibilités de mettre en place des dispositifs d’accueil en dehors de l’UE.
Des centres de contrôles où seront étudiées les demandes d’asiles effectuées par les réfugiés seront aussi mis en place.