Partout dans le monde, les conditions de vie s’améliorent et, par conséquent, l’espérance de vie globale est en nette augmentation. Celle-ci a en effet gagné 25 ans en moyenne depuis les années 50. C’est particulièrement le cas dans les pays riches, où un enfant qui naît aujourd’hui peut espérer vivre plus de 80 ans. Toutefois, si de nombreuses maladies ont été vaincues, ce n’est pas le cas du cancer, qui reste la deuxième cause de décès au niveau mondial.

Le risque augmente avec l’âge

Ce vieillissement global de la population porte en germe une véritable menace: le nombre de cas de cancer diagnostiqués devrait augmenter de plus de 70% à l’horizon 2040. En effet, le risque de contracter la maladie augmente considérablement avec l’âge. Par rapport à un trentenaire, un quadragénaire a deux fois plus de risques d’être victime d’un cancer, un quinquagénaire quatre fois plus, et un septuagénaire cinq fois plus. Cela s’explique par l’affaiblissement, avec l’âge, des mécanismes cellulaires permettant de détruire rapidement les cellules mutantes qui apparaissent dans l’organisme et peuvent devenir cancéreuses. En outre, l’amélioration continue des conditions de vie dans de nombreuses régions du monde entraîne un apport calorique plus élevé et une diminution de l’activité physique au sein de ces populations. Or, ces nouvelles habitudes augmentent le risque d’être victime d’un cancer.

Si ces facteurs de risque sont connus, la maladie reste très complexe à cerner, car elle est protéiforme. Le cancer peut concerner le sang (leucémie, lymphome) ou consister en une ou plusieurs tumeur(s) solide(s) qui s’installe(nt) dans différentes parties de l’organisme (poumon, peau, sein, rein, etc.). Sous ces principaux types de cancers se cachent par ailleurs des dizaines de variétés de tumeurs ou d’infections, qui ont chacune leurs particularités.

L’importance de la recherche et de l’innovation

Le principal levier permettant de lutter contre la menace croissante du cancer est de développer plus encore la recherche pharmacologique, les études universitaires, l’éclosion d’entreprises spécialisées dans le secteur biomédical. De nombreux efforts ont été réalisés à ce niveau au cours des dernières décennies, et des victoires importantes ont été remportées. Depuis 1990, le taux de mortalité pour les malades du cancer a diminué de 18%. Des innovations comme l’immunothérapie permettent de mieux combattre le cancer en améliorant le confort des patients. Mais l’espérance de vie d’une personne atteinte d’un cancer reste en moyenne bien en-deçà de celle d’une personne ne souffrant pas de cette maladie.

Pour permettre à de nouveaux traitements de voir le jour, le rôle des investisseurs est primordial. Ce sont en effet eux qui peuvent apporter les fonds permettant de mener des recherches souvent longues et coûteuses. Ils peuvent également récolter les fruits de leur investissement lorsque celui-ci débouche sur le développement d’un traitement particulièrement efficace. C’est la raison pour laquelle Candriam, filiale du groupe New York Life spécialisée dans les investissements innovants et durables, veille à sélectionner les projets les plus à même de rendre le cancer curable. Pour y parvenir, ce gestionnaire d’actifs peut compter sur une équipe d’experts aux compétences scientifiques pointues. Candriam rétrocède en outre 10% des frais de gestion nets de son fonds Oncology à des instituts luttant contre le cancer. Ainsi, les chances de mettre un terme, ensemble, à cette maladie, sont améliorées.

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