Searching, reasoning, machine learning: le white paper de l’Ilnas aborde ces trois secteurs de l’intelligence artificielle pour mieux les comprendre et appréhender des cas d’usage concrets, leurs opportunités et leurs risques. (Photo: Shutterstock)

Searching, reasoning, machine learning: le white paper de l’Ilnas aborde ces trois secteurs de l’intelligence artificielle pour mieux les comprendre et appréhender des cas d’usage concrets, leurs opportunités et leurs risques. (Photo: Shutterstock)

On peut envisager l’intelligence artificielle selon le cadre législatif ou dans une perspective éthique. L’Ilnas publie sa «bible technique». Un white paper à 360 degrés, qui servira de référence aux acteurs actuels ou en devenir.

Chaque jour, des dizaines de publications et autant d’articles utilisent des expressions comme «intelligence artificielle» ou «machine learning» dans des sens parfois très éloignés de la réalité. Alors que la Commission européenne travaille à un cadre législatif et que d’autres poussent à l’adoption d’un cadre éthique, l’Institut luxembourgeois de la normalisation, de l’accréditation, de la sécurité et qualité des produits et services (Ilnas) publie .

Les trois branches principales – searching, reasoning et machine learning – y sont décortiquées, avec un accent mis sur l’apprentissage automatique (machine learning), pour comprendre ces concepts, via les normes techniques, et faire les bons choix technologiques en fonction des besoins.

Différents domaines d’application sont présentés et mis en perspective avec le contexte économique, que cela soit en termes d’investissements ou de bénéfices attendus, de la santé à la banque et aux finances, en passant par l’industrie, le transport et l’automobile, le commerce ou le secteur public.

Une vue d’ensemble sur des questions de fiabilité de l’intelligence artificielle est aussi proposée, avec une description de l’écosystème complexe de composants qui contribuent à l’instauration de la confiance dans tous les aspects de mise en œuvre de l’intelligence artificielle.

L’Ilnas suit les projets de normalisation en relation depuis leurs prémices en 2017 et est chargé par le gouvernement de la stratégie de normalisation des technologies.