«12 postes sont créés, et nous avons repris deux salariés des Tapis Hertz», se félicite Robert Goeres.  (Photo: Matic Zorman)

«12 postes sont créés, et nous avons repris deux salariés des Tapis Hertz», se félicite Robert Goeres.  (Photo: Matic Zorman)

L’horlogerie de luxe ouvre ce vendredi un nouveau magasin au croisement de la Grand-Rue avec l’avenue de la Porte-Neuve dédié aux montres Rolex. 12 postes sont créés.

Les ouvriers étaient encore à pied d’œuvre ce jeudi lorsque , à la tête de Goeres Horlogerie, a fait visiter le nouveau magasin de l’entreprise familiale à la presse.

Une pré-ouverture de la boutique dédiée aux montres Rolex et située dans le bâtiment emblématique à l’angle de la Grand-Rue et de l’avenue de la Porte-Neuve est prévue ce vendredi après-midi.

Les travaux devaient se poursuivre toute la nuit pour que tout soit prêt. «Nous avons pris en location le rez-de-chaussée et le 1er étage sur une surface totale de 200m2», explique Robert Goeres, qui est également le président de l’asbl Nyuko. «Nous avons souhaité créer des environnements distincts pour les deux marques que nous distribuons: Rolex et Patek Philippe.» La cave va aussi permettre de stocker les produits.

12 postes créés

70 jours ouvrables de chantier auront été nécessaires pour transformer le lieu. 80% des corps de métier sollicités sont luxembourgeois et les sept tonnes de verre sécurisé ont été fabriquées au sein de l’usine Guardian du pays.

«12 postes sont créés, et nous avons repris deux salariés des Tapis Hertz», déclare encore Robert Goeres. Un atelier sera présent sur place, comme c’est le cas au sein du premier magasin situé à quelques dizaines de mètres rue Philippe II. Et ce magasin va également être rénové et sera fermé une dizaine de jours, pour ensuite ne proposer que des montres Patek Philippe.

Si le choix s’est porté sur le bâtiment à la façade d’inspiration Bauhaus, «c’est parce que nous voulions trouver un lieu emblématique du centre-ville de la capitale, et l’idée n’était pas d’ouvrir notre deuxième magasin ailleurs qu’en plein centre de Luxembourg». Robert Goeres mise donc plus que jamais sur le centre-ville et l’«attractivité de sa zone piétonne».