Créée pour des raisons orthopédiques, la Birkenstock est aujourd’hui une sandale très prisée, dont les ventes auraient été dopées par le télétravail. (Photo: Birkenstock)

Créée pour des raisons orthopédiques, la Birkenstock est aujourd’hui une sandale très prisée, dont les ventes auraient été dopées par le télétravail. (Photo: Birkenstock)

Selon des informations de presse, CVC Capital Partners, dont le siège social est établi à Luxembourg, est prêt à débourser quatre milliards d’euros pour s’emparer de Birkenstock.

Après le fabricant de montres suisse Breitling et le parfumeur allemand Douglas, le fonds d’investissement CVC Capital Partners, dont le siège social est établi à Luxembourg, lorgnerait avec appétit la célèbre marque de sandales allemande. 

Selon Bloomberg, auquel aucune des deux parties n’a souhaité répondre, les discussions entre le fonds d’investissement et les deux héritiers du fondateur, en 1897, de la marque, Alex et Christian Birkenstock, seraient déjà très avancées sur un rachat à quatre milliards d’euros.

En 2019, la marque a vendu près de 30 millions de paires de ces sandales, nées de la volonté de respecter l’anatomie du pied et de reproduire le mouvement naturel de la marche, pour un chiffre d’affaires de 720 millions d’euros. Depuis que les deux héritiers se sont entourés de directeurs opérationnels, Olivier Reichert et Markus Bensberg, en 2013, l’entreprise très satellisée est mieux structurée et a conquis de nouveaux marchés.

Selon le Financial Times, deux autres fonds d’investissement seraient également sur les rangs.