«Ce tour de table conforte notre conviction qu’il faut continuer à transformer le modèle de la banque de détail, qui ne répond plus aujourd’hui, dans sa forme traditionnelle, aux besoins et aux usages des consommateurs au quotidien. Ces nouveaux fonds nous permettront de recruter, innover et croître pour nous installer durablement comme l’une des plus grandes banques de détail en Europe», a commenté le CEO et cofondateur de N26, Valentin Stalf.

«C’est une fierté de participer à l’avènement d’un géant européen», s’est félicité le directeur général France et Benelux de N26, Jeremie Rosselli.

La fintech allemande a levé plus de 900 millions de dollars, en série E, auprès de Third Point Ventures et Coatue Management, rejoints par Dragoneer Investment Group aux côtés des actionnaires historiques, dont les Luxembourgeois d’Ilavska Vuillermoz Capital.

D’ici deux ans, N26 va recruter un millier d’employés pour ses huit bureaux (Berlin, Barcelone, Madrid, Milan, Paris, Vienne, New York et São Paulo) afin de poursuivre le développement de produits, l’innovation, et ne pas perdre de vue les questions de sécurité. Le plan d’actionnariat sera accessible à chacun de ses 1.500 salariés actuels pour les remercier d’avoir poursuivi leur travail dans les conditions difficiles liées à la pandémie de Covid.

Après sept ans de croissance, la banque en ligne va limiter ses nouveaux clients dans une fourchette comprise  entre 50.000 et 70.000 par mois. Cette année, elle a déjà réalisé pour 210 milliards de dollars de transactions et a été désignée meilleure banque au monde par Forbes.