La future loi permettant de rendre obligatoire le CovidCheck en entreprise a également essuyé des critiques de la part de la Commission nationale pour la protection des données (CNPD), de la Chambre des fonctionnaires et employés publics (CHFEP) et du Conseil d’État, ainsi que de la Commission consultative des droits de l’Homme (CCDH). (Photo: Paperjam)

La future loi permettant de rendre obligatoire le CovidCheck en entreprise a également essuyé des critiques de la part de la Commission nationale pour la protection des données (CNPD), de la Chambre des fonctionnaires et employés publics (CHFEP) et du Conseil d’État, ainsi que de la Commission consultative des droits de l’Homme (CCDH). (Photo: Paperjam)

Une entrevue entre les trois syndicats nationaux et le gouvernement au sujet du projet de loi ouvrant la possibilité d’instaurer le CovidCheck en entreprise n’a abouti à aucune avancée.

Après les annonces du Premier ministre,  (DP), sur , CGFP, LCGB et l’OGBL ont fait connaître leur désaccord profond. Les syndicats ont notamment vivement critiqué le manque de détails de la future loi, qui n’encadre pas «l’obligation patronale d’informer et consulter la délégation du personnel, le respect de la protection des données, les sanctions éventuelles pour les salariés, ainsi que le droit au test gratuit».

Après avoir sollicité une entrevue d’urgence avec le gouvernement en début de semaine, les syndicats ont pu se mettre autour d’une table avec  (LSAP), vice-Premier ministre et ministre du Travail,  (LSAP), ministre de la Santé, et  (DP), ministre de la Fonction publique.

Mais aucun terrain d’entente n’a été trouvé.

Le projet de loi sera débattu et voté lundi à la Chambre.

Celui-ci a également essuyé des critiques de la part de la , de la  et du , ainsi que de la Commission consultative des droits de l’Homme (CCDH).