Les prévenus seront fixés sur leur sort le 9 décembre quand . Et celui-ci sera évidemment très attendu, car pouvant avoir des conséquences, par ailleurs.
, ancien président du CSV qui depuis lors a rendu sa carte de parti, a entendu le ministère public réclamer à son encontre neuf mois de prison avec sursis et une amende, pour des faits de faux et usage de faux, fraude et abus de confiance. Pour rappel, celui-ci a bénéficié d’une rémunération durant sept mois, de juin à décembre 2020, d’un total de 40.000 euros, en tant que chargé de mission au sein de l’asbl CSV Frëndeskrees. Il devait assurer la représentation externe de l’asbl, le recrutement de nouveaux membres et la préparation de la transformation de l’association en fondation. Un contrat contesté par des députés de son parti, qui l’avaient dénoncé au .
6 mois avec sursis contre Eischen et Martins
Mais la décision de justice pourrait aussi porter un nouveau coup au CSV. En effet, , ancien secrétaire général du parti, risque pour sa part six mois de prison avec sursis et une amende, tout comme André Martins, ancien trésorier de l’asbl Frëndeskrees. Le Parquet est convaincu qu’ils ont contribué à créer un emploi fictif.
Georges Heirendt, ancien trésorier général du CSV, et Georges Pierret, membre de l’asbl CSV Frëndeskrees, encourent une amende. Tout comme et , qui occupent des postes en vue au sein de la hiérarchie du parti. Si les faits qu’on leur reproche sont établis, se posera inévitablement la question de leur avenir politique.