Xavier Bettel lors de son discours sur l’état de la Nation. (Photo: Guy Wolff/Maison Moderne/Archives)

Xavier Bettel lors de son discours sur l’état de la Nation. (Photo: Guy Wolff/Maison Moderne/Archives)

Invité de l’émission Background sur RTL, le Premier ministre, Xavier Bettel (DP), a confirmé son intention d’aborder les prochaines élections avec l’ambition de rester chef du gouvernement ou du moins ministre au sein de la prochaine coalition gouvernementale.

, le Premier ministre, (DP), a confirmé son bilan sur les ondes de l’émission Background sur RTL. Il a surtout affirmé vouloir aborder les prochaines élections, qui auront lieu dans un an, avec l’ambition de rester Premier ministre ou du moins ministre au sein du prochain gouvernement, avec l’accord de son parti.

Xavier Bettel souhaite donc continuer à s’investir dans la politique nationale du pays. Pour cela, il n’exclut pas de compter une nouvelle fois sur une coalition, même si ce sera «aux électeurs d’en décider», précise-t-il.

Le Premier ministre est également revenu sur les deux dernières années à la tête d’un gouvernement qui a dû gérer la crise sanitaire puis la crise énergétique et la hausse de l’inflation dans un contexte géopolitique marqué par l’agression de la Russie en Ukraine.

Il a rappelé que son gouvernement a mis sur la table , un investissement «nécessaire», mais que Xavier Bettel aurait préféré investir différemment, dans un scénario sans l’apparition du virus du Covid-19.

Dans le même temps, Xavier Bettel a expliqué, avec l’aide de son gouvernement, avoir réussi à faire avancer le Luxembourg dans sa transition climatique en doublant les investissements dans le secteur de l’environnement pour atteindre environ 1,3 milliard d’euros.

Enfin, le Premier ministre a assuré être en faveur d’, tout en expliquant n’avoir ni la place ni la marge nécessaire pour entamer une réforme avant la fin de son mandat. Réforme pourtant annoncée dans l’accord de gouvernement. Xavier Bettel a également justifié la nécessité de garder à l’œil la dette nationale en dessous des 30% du PIB. Sans en faire une obsession, le Premier ministre assure qu’aller au-dessus de ce seuil serait faire preuve d’une politique irresponsable.