Avec le rachat de Slack, Salesforce double Microsoft, grâce à son réseau de vendeurs, 10 fois plus nombreux. Un match de géants dans les outils professionnels auquel Google se mêlera. (Photo: Shutterstock)

Avec le rachat de Slack, Salesforce double Microsoft, grâce à son réseau de vendeurs, 10 fois plus nombreux. Un match de géants dans les outils professionnels auquel Google se mêlera. (Photo: Shutterstock)

Salesforce a finalement officialisé le rachat de Slack pour près de 28 milliards de dollars – en cash et en actions. Mettant fin à un mythe moderne: celui qui dessine un salarié autorisé à utiliser ses solutions ou applications préférées dans le cadre de ses activités professionnelles.

Sans surprise, la fiancée s’est fait un peu désirer. Mais de «l’épouser». Le géant américain des solutions aux entreprises a déboursé près de 28 milliards de dollars pour ajouter cet outil collaboratif, copié très vite par Microsoft.

«C’est un match fait au paradis. Ensemble, Salesforce et Slack vont façonner l’avenir des logiciels d’entreprise et transformer la façon dont chacun travaille dans le monde entièrement numérique et de n’importe où. Je suis ravi d’accueillir Slack dans Salesforce Ohana une fois la transaction conclue», s’est félicité le CEO de Salesforce, Marc Benioff.

Si depuis un moment dans ce secteur spécifique de l’aide à la productivité, Verge analyse qu’il enterre les libertés accordées aux employés de travailler avec leurs propres solutions préférées dans la gestion de projet ou la communication avec leurs collègues.

Pour le CEO de Box, Aaron Levie, que le média américain a appelé, il se dessine un match à trois géants, Microsoft, Salesforce et Google.