Mardi, à l’occasion de la réunion du Conseil des affaires générales, à Bruxelles, le ministre luxembourgeois des Affaires étrangères, (LSAP), a souligné l’importance de la proportionnalité des mesures liées à la pandémie eu sein de l’Union européenne, ainsi que la nécessité de trouver un consensus sur la durée de validité des certificats de vaccination et les vaccinations de rappel. «Il faut garantir des conditions cohérentes pour l’ensemble des citoyens européens, étant donné que des approches divergentes risqueraient d’avoir un impact négatif sur la libre circulation et le quotidien des communautés transfrontalières», stipule le communiqué du gouvernement.
Pour rappel, en début de semaine, en Autriche, le chancelier Alexander Schallenberg a annoncé sur l’ensemble du territoire à partir de lundi minuit, et jusqu’au 13 décembre. Une annonce qui intervient moins d’une semaine après . Aux Pays-Bas, le durcissement des mesures sanitaires a engendré de nombreux troubles, en fin de semaine dernière, alors que de , la nouvelle vague infectieuse semblant hors de contrôle ces jours-ci.
Le chef de la diplomatie luxembourgeoise demeure un ardent défenseur des accords de Schengen et de la liberté de circulation au sein de l’UE. Lorsque l’Allemagne avait introduit des avec le Tyrol autrichien et la frontière tchèque, en février dernier, et que le Luxembourg risquait de subir le même sort, il avait qualifié les inspections aux frontières de «poison de l’idée européenne».
Pour ce qui est du vaccin au Luxembourg, des rappels sont proposés à toutes les personnes de plus de 18 ans, mais les certificats de vaccination resteront valables sans la . , par contre, les personnes âgées de plus de 65 ans sont tenues de se faire vacciner à partir du 15 décembre pour que leur certificat de vaccination reste valable.
Cet article a été écrit pour traduit et édité pour Paperjam.