L’initiative européenne en faveur des supercalculateurs a financé sa quatrième acquisition en Europe et projette d’en financer trois autres avant la fin de l’année. (Photo: Shutterstock)

L’initiative européenne en faveur des supercalculateurs a financé sa quatrième acquisition en Europe et projette d’en financer trois autres avant la fin de l’année. (Photo: Shutterstock)

L’Union européenne continue à tisser sa toile de superordinateurs. L’European High-Perfomance Computing Joint Undertaking annonce avoir dépensé 144,5 millions d’euros pour acquérir le Lumi finlandais, conçu par Hewlett-Packard Enterprise. Trois autres achats sont programmés cette année.

De 375 millions de milliards de calculs par seconde, pourrait théoriquement atteindre les 550 millions de milliards, de quoi en faire un des plus puissants supercalculateurs de la planète.

La Commission européenne annonce ce mercredi que l’European High-Perfomance Computing Joint Undertaking, basée au Luxembourg, a mis 144,5 millions d’euros sur la table pour l’ajouter à sa toile de supercalculateurs, partout en Europe.

Après l’achat de , le 15 octobre, ce nouveau joujou du futur rejoint , et ses pairs de et de . Selon le communiqué, la Commission s’apprête à continuer à casser sa tirelire pour acquérir trois nouveaux supercalculateurs avant la fin de l’année, en Espagne, au Portugal et en Bulgarie.

Jusqu’ici, Bruxelles a dépensé 327 millions d’euros pour ces ordinateurs du futur. En septembre, la Commission a proposé d’ajouter 8 milliards d’euros pour continuer à se doter de ces ordinateurs.