Une affaire peut en cacher une autre. 2014, Uber s’aperçoit d’un bug qui a permis à des hackers d’extraire des données. Alors que la start-up signale le problème à la Federal Trade Commission (FTC), elle découvre, deux ans plus tard, que les données de 50 millions d’utilisateurs et de 7 millions de chauffeurs, dont leur permis de conduire, ont elles aussi été piratées.
Sauf que pour éviter les ennuis, la société décide de payer un «bug bounty» – une récompense pour ceux qui trouvent une faille informatique – de 100.000 dollars aux pirates pour qu’ils fassent disparaître les données.
Ce mardi 26 juillet, avec le géant américain pour mettre fin aux poursuites. Avant que le nouveau problème ne soit connu, Uber avait déjà signé , sans amende, celui-là.