Le député de l’ADR est aussi candidat aux élections européennes. Il plaide en faveur du maintien de l’Europe, mais avec une architecture revue.

L’ADR s’est toujours défendu d’être un parti anti-européen. «C’est un mauvais procès. Nous sommes pour l’Europe, mais une Europe dont il faut revoir l’architecture», explique , qui est en faveur d’une Europe des nations, profondément réformée dans son fonctionnement.

Lors du , il a pu détailler quelques-unes de ses priorités. Mettant en garde, notamment dans le domaine social, contre le danger «de dépenser un argent que l’on n’a pas». Tandis qu’en ce qui concerne la fiscalité, «nous sommes pour le maintien du vote des décisions à l’unanimité. Cette façon de faire ne doit pas être vue comme un blocage, mais bien comme un outil de négociation.»