Zied Tayeb (MyelinH), Michelle Glorieux (Ta-Da!) et Matteo Ressa (ChefPassport).  (Photo: Simon Verjus/Maison Moderne)

Zied Tayeb (MyelinH), Michelle Glorieux (Ta-Da!) et Matteo Ressa (ChefPassport).  (Photo: Simon Verjus/Maison Moderne)

La troisième saison des Start-up Stories a débuté mercredi soir au Village by CA, au sein de la House of Startups, dans une ambiance forcément spéciale. Trois start-up ont pris leur ticket pour la finale: MyelinH, Ta-Da! et ChefPassport.

Le Village by CA d’Amélie Madinier avait perdu son habituel calme très feutré, mercredi soir, pour accueillir le lancement de la troisième saison des Start-up Stories. Au lieu des habituels start-upper qui avancent sur leurs projets, 10 start-upper qui vantent leur projet devant un jury et un public à distance, pour tous ceux qui suivent habituellement cet événement du Paperjam + Delano Club.

Les sourires se devinent malgré les masques, la tension de ceux qui doivent passer sur scène et n’aiment pas ça aussi.

À 18 heures et compte tenu des circonstances, avoir un projet autour… de l’alimentation, de la «bouffe», de la convivialité et du voyage des papilles, forcément, ça parle. Avec , partout sur la planète, Matteo Ressa a aiguisé l’appétit d’un jury affamé de rencontres avec ces entrepreneurs innovants.


Lire aussi


Sur fond de Covid-19, les solutions d’éducation se tirent elles aussi la part belle des discussions, et le jury, emmené par (LBAN), rejointe par Stéphane Pesch (LPEA), (Expon Capital), (SnT) et… la première lauréate des Start-up Stories, Ilana Devillers (Food4All), a qualifié Ta-Da! pour la finale. par celle qui avait passé sept ans au Luxembourg, est une technologie de livres audio éducatifs pour les enfants de moins de 14 ans. Son contrat de distribution mondial signé en octobre assure à la jeune pousse un avenir radieux, pour autant qu’elle trouve les fonds nécessaires à son développement.

Et sur fond de Covid-19 toujours, le jury a aussi prêté une oreille attentive à un projet lié à la santé et à la détection de maladies du cerveau, MyelinH. Zied Tayeb s’est lancé dans l’aventure quand sa maman a appris, trop tard, qu’elle était atteinte d’une maladie dégénérative. Comme l’a souligné avec justesse M. Soares, pour développer son intelligence artificielle, l’entrepreneur devra trouver des millions de données que des concurrents ont déjà en main.

Le vote délivré, le groupe – masqué – immortalisé, la conversation s’est poursuivie en ligne. Avec la confiance de ces entrepreneurs innovants qu’un jour meilleur reviendra, où cet événement permettra de maximiser les énergies autour d’un verre. Le meilleur des start-up.