Plusieurs milliers de festivaliers sont allés électriser le premier festival LOA. (Photo: Colorful Penguin)

Plusieurs milliers de festivaliers sont allés électriser le premier festival LOA. (Photo: Colorful Penguin)

Ce week-end avait lieu la première édition du festival Luxembourg Open Air. Et soyons honnêtes, c’était le feu! Vous y étiez? Nous, oui...

Le festival était attendu depuis son annonce au printemps: le Luxembourg Open Air, qui promettait de mettre à l’honneur les scènes dance, house et EDM en pleine ville de Luxembourg, n’a pas déçu. Tous les jeunes (et moins jeunes) fêtards branchés se devaient d’être à cette mini-version grand-ducale de Tomorrowland.

Pourtant, le format était inédit, avec un line-up étalé de 11h à 23h qui a fait jouer les DJ locaux devant une foule encore un peu éparse avant 17h. Mais la vaste Porte de l’Europe, qui accueillait l’événement au Kirchberg, n’a pas tardé à se remplir progressivement mais sûrement sous les derniers rayons d’un soleil radieux plus que bienvenu pour l’occasion... 18h: le set de la toute fraîche et excellente Berlinoise Lovra enflamme le LOA en moins de temps qu’il n’en faut pour commander un cocktail...

L’enchaînement de têtes d’affiche qui suit ne fait que grossir les rangs de festivaliers dans une ambiance légère, voire familiale, jusqu’à blinder le parvis de la Philharmonie et de l’Hôtel Meliá, partenaire de l’événement. Et ce jusqu’au set final de la star Mike Williams, acclamé comme il se doit. 23h: le rideau tombe, place au reste de la soirée. Si vous avez loupé ce premier LOA, vous pouvez franchement être impatients pour l’édition de l’année prochaine.

À noter que l’organisation sérieuse n’a pas manqué de concourir au succès de cette première édition avec un service d’encadrement et de bénévoles efficace, de nombreux bars, un «foodvillage» bien fourni et un espace VIP idéalement placé. Luxembourg avait besoin d’un succès pareil dans un contexte un peu difficile pour les festivals. On sera là en 2020.