Patrick Galbats a répondu à la commande du CNA en proposant une série de photographies envisagées comme un journal intime. (Photo: Patrick Galbats)
Six photographes ont été missionnés par le Centre national de l’audiovisuel pour témoigner de l’impact de la pandémie de Covid-19 sur les environnements sociaux, ainsi que les paysages urbains et naturels du Luxembourg. Des chroniques en images, aussi sensibles que révélatrices de ce moment inédit.
Pour documenter cette période inédite et témoigner de l’impact de la pandémie de Covid-19, six photographes ont répondu à l’appel du Centre national de l’audiovisuel (CNA) qui leur a laissé carte blanche pour porter leur regard sur les environnements sociaux ainsi que les paysages urbains et naturels du Luxembourg. Mais comment témoigner de ces pertes de liberté, des bouleversements de nos habitudes, de la réappropriation de nos espaces privés et publics et de l’adaptation de nos modes de vie? Chacun a trouvé une réponse propre en parcourant le territoire qui lui était assigné.
Patrick Galbats, confiné à Bruxelles, propose un journal intime, Romain Girtgen photographie Dudelange et le Sud, Véronique Kolber les villes et villages du Nord, Andrés Lejona la Moselle, Carole Melchior le paysage autour de la frontière belgo-luxembourgeoise et Marc Schroeder intervient à Luxembourg-ville. Autant de regards qui donnent à voir différemment un quotidien en temps de crise sanitaire.
Ces séries photographiques ont été diffusées par le CNA sur ses réseaux sociaux à partir du 12 avril. Paperjam.lu les diffuse à travers une série de six articles.
L’amour au temps du Covid-19, par Patrick Galbats
Photo issue de la commande passée par le Centre national de l’audiovisuel. (Photo: Patrick Galbats)
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Photo issue de la commande passée par le Centre national de l’audiovisuel. (Photo: Patrick Galbats)
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Photo issue de la commande passée par le Centre national de l’audiovisuel. (Photo: Patrick Galbats)
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Patrick Galbats. – «Après plus de deux semaines de confinement sans pouvoir rencontrer ses ami(e)s, il me semble qu’une douce euphorie est venue s’installer. Soudainement, nous redécouvrons les longs petits déjeuners en plein milieu de semaine, des repas cuisinés chaque soir ou le plaisir de prendre un café sur son balcon, au soleil, sans bruits de trafic aérien. Les uns commencent à courir, les autres font leur déclaration d’impôts six mois plus tôt que d’habitude. Cette situation nous donne enfin l’opportunité de réaliser ce que nous avons toujours voulu faire.
La période que nous sommes en train de vivre va-t-elle nous rendre le temps perdu?
Mes images, toutes prises pendant le confinement à Bruxelles, sont une trace de ce voyage intime, entre amour, angoisse et légèreté.»