Par rapport à leurs plus hauts en bourse, Uber a perdu 33% de sa valeur et Lyft 50%, plombés par leurs dettes respectives. (Photo: Shutterstock)

Par rapport à leurs plus hauts en bourse, Uber a perdu 33% de sa valeur et Lyft 50%, plombés par leurs dettes respectives. (Photo: Shutterstock)

Après des années «champagne», la tech semble avoir la gueule de bois: 8.000 emplois perdus dans 23 start-up ce dernier trimestre, valorisations en berne, VC obligés d’admettre des pertes... Personne ne parle encore de «bulle informatique», mais on commence à y penser.

Le coronavirus chinois aura un impact planétaire. Sur la tech aussi, comme les uns et les autres ont commencé à l’admettre, Apple en tête, qui aura du mal à maintenir ses ventes d’iPhone si ses usines Foxconn ne produisent pas.

, 23 start-up ont licencié 8.000 personnes ces quatre derniers mois. Dans un papier qui transpire la tristesse, le leader américain des médias évoque aussi les VC obligés d’admettre des pertes ou encore des investissements au plus bas depuis 2016. Signes avant-coureurs d’une «bulle 2.0»? Non, dit le journal qui n’a cependant pas pu se passer d’y penser.

Les entrées en bourse calamiteuses d’Uber et de Lyft, qui perdent des millions de dollars, ou l’affaire WeWork, qui a perdu 80% de sa valeur, sont autant d’autres symptômes du mal-être qui s’invite…