Le recteur de l’Université Stéphane Pallage, le président de la SNCI Patrick Nickels et le président du conseil de surveillance de l’Uni Yves Elsen ont signé une facilité pour permettre à des chercheurs entrepreneurs d’obtenir un premier crédit. (Photo: Université du Luxembourg/SNCI)

Le recteur de l’Université Stéphane Pallage, le président de la SNCI Patrick Nickels et le président du conseil de surveillance de l’Uni Yves Elsen ont signé une facilité pour permettre à des chercheurs entrepreneurs d’obtenir un premier crédit. (Photo: Université du Luxembourg/SNCI)

La SNCI et l’Université ont annoncé, ce mardi, le lancement d’une «Facilité Université du Luxembourg» pour apporter un cofinancement à des microentreprises nées d’un programme de recherche.

Les spin-off de l’Université du Luxembourg ont souvent été de belles histoires entrepreneuriales. Les travaux de recherche ont régulièrement permis de pointer le besoin de nouvelles solutions et de développer de nouvelles technologies. Comment accélérer le phénomène?

Après avoir lancé un incubateur d’entreprises, l’Université du Luxembourg avance encore dans cette direction avec le concours de la Société nationale de crédit et d’investissement. «La ‘Facilité Université du Luxembourg’ est un crédit à conditions attrayantes qui inclut une participation au risque de la part de la SNCI», indique le communiqué des deux partenaires, signé conjointement par le recteur de l’Université, , le président de son conseil de surveillance, , et le président de la SNCI, Patrick Nickels. «Le cofinancement de la SNCI dans le projet pourra atteindre jusqu’à 250.000 euros ou 40% maximum des coûts éligibles, avec une durée maximale de 10 ans et une rémunération de base de 1%.»

Cet argent pourra être utilisé par des microentreprises pour financer l’acquisition d’immeuble, de machines, de licences, de logiciels ou de plan d’affaires.