Il y a plusieurs niveaux de lecture des ambitions de . Si la plus courante est celle du «social trading», qui permettra à des groupes d’amis d’élaborer des stratégies d’investissement, d’autres aspects devraient inquiéter non seulement les banquiers traditionnels, mais les applications de trading qui existent déjà: il ne faudra qu’une livre pour avoir accès aux 1.500 premières actions du département «actions».
C’est à partir de cet élément que la fintech française de (Stuart) et entend attirer ces jeunes investisseurs potentiels, rebutés par les conditions fixées par les banques et trop isolés par beaucoup d’applications, où ils se contentent de dupliquer, avec leurs moyens, des stratégies de traders ou d’investisseurs plus connus.
Cette semaine, Shares a annoncé une nouvelle levée de fonds, de 40 millions de dollars, auprès d’investisseurs américains, dont Peter Thiel, le cofondateur de PayPal et de Palantir, déjà au capital de deux néobanques (N26 et Qonto) et d’une application de trading (Bitpanda).
60.000 utilisateurs ont déjà un accès et la fintech a pour objectif, dès qu’elle aura le feu vert des régulateurs européens, d’en atteindre 150.000 avant la fin de l’année.