Séverine Bergé (Neofisc): «Notre objectif est de nous positionner comme un partenaire de confiance auprès des PME/PMI.» (Photo: Neofisc)

Séverine Bergé (Neofisc): «Notre objectif est de nous positionner comme un partenaire de confiance auprès des PME/PMI.» (Photo: Neofisc)

Le Paperjam Club accueille un nouveau membre: Neofisc. Présentation en trois questions.

Pouvez-vous, en quelques mots, résumer l’activité de votre société?

Séverine Bergé. – «Nous proposons aux professionnels et particuliers des services comptables et fiscaux en privilégiant le contact humain. Nous effectuons toutes les démarches fiscales et comptables pour les indépendants, professions libérales, sàrl-s, sàrl, ainsi que la gestion des ressources humaines et les déclarations privées. Nous accompagnons les particuliers pour leurs déclarations fiscales luxembourgeoises et françaises, et nous les conseillons sur les choix stratégiques afin d’optimiser leur fiscalité.

Quelle est l’histoire qui se cache derrière votre entreprise et comment cette histoire se traduit-elle dans votre mission et vos valeurs?

«L’entreprise a été créée en 2011 par l’observation du manque d’informations des salariés sur le système fiscal luxembourgeois. Hormis ceux qui étaient contraints, peu se risquaient à établir une déclaration, en particulier les frontaliers pour qui la démarche était complexe. Ils préféraient renoncer à leurs avantages par peur de se tromper. Par la suite, l’activité a été étendue à la fiscalité française, puis aux professionnels.

Quelles opportunités recherchez-vous au sein du Club et comment envisagez-vous de contribuer à son développement?

«Notre objectif est de nous positionner comme un partenaire de confiance auprès des PME/PMI pour accompagner les services RH dont le métier s’est complexifié, car ils sont en première ligne face aux questions des collaborateurs: choix en matière RTS; déclaration obligatoire ou pas; décompte annuel ou formulaire 100; conséquence d’un changement d’état civil ou de pays de résidence, autant de questions qui requièrent des réponses fiables pour éviter un surplus d’impôt.»