La fine fleur des jeunes DJ électro luxembourgeois s’est relayée sur la scène centrale de la première soirée Satori, en collaboration avec le collectif Ultraschall.  (Photo: DR) 

La fine fleur des jeunes DJ électro luxembourgeois s’est relayée sur la scène centrale de la première soirée Satori, en collaboration avec le collectif Ultraschall.  (Photo: DR) 

Alors que tout le monde jouait aux zombies et aux vampires, la marque de bière qui monte et le collectif électro ont rempli la tente Koloquio avec une soirée «boiler room» explosive et sold-out...

C’était clairement un des événements les plus attendus du long week-end de la Toussaint, et on peut dire qu’il n’a pas déçu! La soirée d’inspiration «boiler room» de Satori et Ultraschall, organisée sous la tente du parvis de Neimënster a en effet réussi à rassembler un beau nombre de fans de musique électronique lors de cette première édition inspirée du célèbre concept londonien lancé en 2010.

Les caractéristiques des célèbres soirées «boiler room»? Des DJs «en fosse», entourés de bonnes vibes et de dizaines/centaines de danseurs mélomanes, le tout retransmis à grande audience via internet. Les lives officiels «boiler room» en ligne des plus grands DJ électro du moment, comme Solomun ou Honey Dijon, font des millions de vues et servent de préchauffes sur écran lors de nombreuses soirées à travers le monde…

Pas étonnant donc que l’équipe de Satori, la bière des jeunes qui monte, qui monte, et qu’, s’associe avec leurs amis d’Ultraschall, collectif organisateur d’événements musicaux, en prenant ce modèle pour le transposer dans le Grund le soir d’halloween... Ambiance moite, jeunes et moins jeunes en joyeuse goguette, salle comble, de la bière comme s’il en pleuvait: tout était réuni et tout s’est bien emboîté pour faire monter le ton de la soirée.

Succès sold-out pour la première soirée Satori «boiler room», organisée le 31 octobre dernier au Koloquio. DR

Succès sold-out pour la première soirée Satori «boiler room», organisée le 31 octobre dernier au Koloquio. DR

Il faut dire que le line-up était béton: Nosi, Have, Rixter, Fonclair, Alex Heide, Alberto Stocco et Vespucci Vibes…

Un vrai plaisir que de voir enfin la jeune génération luxembourgeoise, longtemps attirée vers l’étranger une fois le bac en poche, s’intéresser à la scène locale et rivaliser d’imagination pour la faire bouger comme il se doit. Ce que confirme Davide Sorvillo, un des trois fondateurs de la microbrasserie luxembourgeoise: «Voilà ce qui peut se passer quand de jeunes cerveaux pleins d’énergie et de volonté se connectent et collaborent! On voit le potentiel qu’il y a et on pense déjà aux prochains événements». Bravo les filles, bravo les gars, on a en effet hâte d’être à la prochaine!

Pour plus d’infos et de photos, c’est sur les pages et .

Vous n’êtes pas encore abonné(e) à la newsletter hebdomadaire Paperjam Foodzilla?