En 2016, Reding avait vendu un immeuble d’appartements pour plus de 1,6 million d’euros. L’immeuble contenait cinq appartements, dont un sous-sol transformé qu’il lui avait été ordonné de vider en 2014 car il ne respectait pas les exigences de logement, telles qu’une hauteur de plafond minimale.
Cet ordre a été confirmé en 2015. L’année suivante, Roy Reding a mis la propriété en vente sans avoir reconverti l’appartement du sous-sol.
L’acheteur a plus tard affirmé que M. Reding avait dissimulé le fait qu’un des appartements ne pouvait pas être loué. Le politicien a nié les charges, affirmant que l’agent immobilier qui gérait la transaction avait été informé que le studio du sous-sol ne pouvait pas être utilisé comme logement.
Dans un premier verdict rendu le 24 novembre de l’année dernière, M. Reding a été condamné à une amende de 50.000 euros et à une peine d’un an avec sursis pour fraude immobilière. Cependant, la Cour d’appel a annulé cette peine et a acquitté Roy Reding de toutes les charges.
(Cet article a été écrit par , traduit et édité pour Paperjam).