Le service proposé par la start-up de Stève Parache se veut «innovant et encore méconnu du grand public».  (Photo: Immersioo)

Le service proposé par la start-up de Stève Parache se veut «innovant et encore méconnu du grand public».  (Photo: Immersioo)

Le Paperjam + Delano Business Club accueille un nouveau membre: Immersioo. Présentation en trois questions.

Pouvez-vous, en quelques mots, résumer l’activité de votre société?

. — «Actrice de la digitalisation et de la construction du monde de demain, la start-up contribue à la numérisation du monde physique. Notre mission est de révéler le potentiel latent qui sommeille dans vos actifs immobiliers. Nous intervenons à n’importe quelle étape de la vie de votre ouvrage et apportons nos solutions innovantes pour la vente, la location, la rénovation, le suivi des travaux, la gestion des installations techniques et la promotion de votre établissement sur internet.

Vous venez de rejoindre le Paperjam + Delano Business Club. Quelles sont les raisons qui vous ont poussé(e) à le faire?

«Le service que nous proposons est innovant et encore méconnu du grand public. Immersioo a besoin d’une visibilité sur les réseaux et du bouche-à-oreille pour continuer son développement. Le Paperjam + Delano Business Club et sa communauté répondent à ces deux critères, de par la diversité des évènements proposés et de la sympathie, la disponibilité et la qualité des membres qui constituent le Club. Aujourd’hui et après la participation aux premiers évènements, nous avons déjà converti des membres en clients satisfaits.

Qu’y recherchez-vous? Et que pensez-vous pouvoir proposer aux membres que vous allez y rencontrer?

«On connait tous les formats photo et vidéo. Le format visite virtuelle va encore plus loin, il compile beaucoup d’informations et se veut être un véritable outil de travail dans le cadre d’un projet de rénovation, avec des passerelles vers l’architecture d’intérieur et le BIM. Immersioo est aussi un outil de communication pour promouvoir tous types de fonds de commerces (horeca, boutiques…) et valoriser le savoir-faire des architectes et artisans (avant-après, etc.). Le décor est planté!»