La Maison du savoir est au centre du campus de Belval. (Photo: Fonds Belval/Rol Schleich)

La Maison du savoir est au centre du campus de Belval. (Photo: Fonds Belval/Rol Schleich)

Le 14 septembre 2015, l’Uni faisait sa rentrée pour la première fois sur le site de Belval. À l’époque, 2.200 étudiantscontre plus de 3.000 cette année - étaient attendus pour tester les nouvelles installations à Belval. 

Tournée vers l’international

Cette rentrée était aussi l’occasion de parler de son projet de se tourner vers l’international. «Ce n’est plus une petite start-up», indiquait Rainer Klump, le recteur de l’Uni. «Le projet Belval est à la fois une opportunité immense de se réinventer et un défi logistique et humain sans précédent», poursuivait-il. Autour de l’Uni, c’est tout un laboratoire d’activités qui s’est créé, allant des FabLab au Technoport en passant pas la Cité des sciences, de la recherche et de l’innovation. Pour Rainer Klump, l’Uni est le moteur de la recherche publique. En témoignent les 566 travaux qui ont été publiés dans des revues scientifiques, 16 projets de recherche «Horizon 2020» pour 10,6 millions d’euros, la création de spin-off issues du LCSB pour ITTM et du SnT pour Motion-S... 

Pour appuyer le côté «international», le corps enseignant est composé de professeurs issus de 25 pays et les quelque 107 origines différentes des élèves créent une atmosphère multilingue dans le bâtiment. Et l’université a également été remarquée au classement mondial Times Higher Education World University Rankings 2015-2016 où elle atteint la 193e place au classement général, et la 2e en termes d’orientation internationale.

Toutefois, l’université veut garder sa dimension humaine et à l’écoute des élèves. C’est ce que déclarait pour cette rentrée académique 2016 Eric Gary, head of student department: «Chaque étudiant est accueilli et suivi individuellement.» Une attention particulière a d’ailleurs été mise sur l’accueil et l’intégration des élèves avec des journées telles que les Welcome Days.