Monsieur Miranda, Monsieur Hamet, pouvez-vous, en quelques mots, résumer l’activité de votre société?

«Waow! est une plateforme en ligne (www.waow.eu + app IOS et Android) où des artistes plasticiens indépendants ont l’opportunité de rencontrer un marché. Cette rencontre se fait sur le modèle like/dislike de Tinder: les œuvres apparaissent une après une et le chercheur d’art se constitue sa propre collection en ligne, en vue d’un achat ou d’un premier investissement à un prix abordable.

Chez Waow!, nous avons à cœur d’utiliser l’artech pour (re)mettre l’émotion au cœur de l’expérience utilisateur quand il s’agit d’art. Après tout, n’est-il pas un partage entre le talent de l’artiste et l’émotion qu’il suscite chez celui qui contemple son œuvre?

Vous venez de rejoindre le Paperjam Club. Quelles sont les raisons qui vous ont poussé à le faire?

«Dans le monde des start-up, le terme d’accélérateur est omniprésent. Que ce soit pour développer un business, un réseau, faire des rencontres ou tout simplement mieux connaître le microcosme du Grand-Duché, il faut accélérer. Maison Moderne fait partie des accélérateurs qui peuvent faire la différence quand on crée une start-up à Luxembourg et c’est la raison pour laquelle nous sommes devenus membres du Paperjam Club.

Qu’y recherchez-vous? Et que pensez-vous pouvoir proposer aux membres que vous allez y rencontrer?

«Nous y cherchons ce qui nous manque quand on a 30 ans et qu’on crée une société à Luxembourg: un réseau professionnel accueillant, proche et à l’écoute. Certains (déjà membres) nous guident au quotidien et nous les écoutons attentivement.

Ce que Waow! peut vous apporter? Sans doute une vision un peu décomplexée et décalée d’appréhender l’art…»