Jorge De Oliveira: «Nous voulons démontrer que la digitalisation du bâtiment n’est pas un luxe, mais pourrait s’imposer comme une nécessité à l’ère de la 3e Révolution industrielle.» (Photo: Smart Cube)

Jorge De Oliveira: «Nous voulons démontrer que la digitalisation du bâtiment n’est pas un luxe, mais pourrait s’imposer comme une nécessité à l’ère de la 3e Révolution industrielle.» (Photo: Smart Cube)

Monsieur De Oliveira, pouvez-vous, en quelques mots, résumer l’activité de votre société? 

«Smart Cube est active dans le domaine du ‘Smart Building’: nous dotons les bâtiments de systèmes «intelligents», capables par eux-mêmes de rationaliser leur gestion énergétique et de communiquer avec d’autres objets connectés. 

Cette intelligence, nous la transmettons aux bâtiments grâce à notre savoir-faire d’ingénieur intégrateur. Nous automatisons et paramétrons toute une série d’actions, en exploitant simultanément les objets connectés, le système domotique et la magie d’Internet. 

Nous rendons tous types d’immeubles intelligents, qu’il s’agisse d’immeubles d’habitation ou d’immeubles administratifs, commerciaux ou industriels.

Vous venez de rejoindre le Paperjam Club. Quelles sont les raisons qui vous ont poussé à le faire?

«Nous avons rejoint le Paperjam Club en raison de son large réseau de membres actifs, de sa modernité, de son dynamisme dans l’organisation d’événements et de workshops. Ces raisons constituent autant d’opportunités de partager notre vision et notre savoir-faire dans le domaine des ‘Smart Buildings’. 

Qu’y recherchez-vous? Et que pensez-vous pouvoir proposer aux membres que vous allez y rencontrer?

«Le ‘Smart Building’ est un domaine d’activité émergent, avec un large horizon de possibilités: il s’intègre dans des projets d’urbanisme innovants, repensant la conception traditionnelle de la cité. Il s’agit de concevoir des quartiers et des villes d’un type nouveau, en créant de nouveaux bâtiments, mais aussi en modernisant ceux déjà existants.

Nous espérons rencontrer des membres partageant la même vision de l’innovation. Nous voulons démontrer que la digitalisation du bâtiment n’est pas un luxe, mais pourrait s’imposer comme une nécessité à l’ère de la 3e Révolution industrielle.»