Gildes Royer: «Je pensais à mon avenir professionnel, puis la passion du vin m’a piqué les veines et depuis lors je n’ai plus jamais eu l’impression de 'travailler'.» (Photo: Julien Becker / Archives)

Gildes Royer: «Je pensais à mon avenir professionnel, puis la passion du vin m’a piqué les veines et depuis lors je n’ai plus jamais eu l’impression de 'travailler'.» (Photo: Julien Becker / Archives)

Monsieur Royer, qu’est-ce qui vous a poussé à faire de votre passion votre métier? Est-ce que vous l’avez toujours su? Est-ce une découverte «tardive»?

«Dans mon cas, c’est plutôt l’inverse: c’est mon métier qui est devenu une passion. J’étais parti pour faire carrière dans la restauration au niveau de la salle et j’ai 'glissé' vers la sommellerie en faisant une école spécialisée. Au début, j’ai pris les choses très au sérieux, je souhaitais être performant, je pensais à mon avenir professionnel, puis la passion du vin m’a piqué les veines et depuis lors je n’ai plus jamais eu l’impression de 'travailler'. Je suis sur la vague, la passion me transmet son énergie.

Quel est, selon vous, le premier facteur de succès lorsque l’on se lance dans ce type d’aventure?

«L’enthousiasme est le premier facteur de succès, car il faut croire en son projet et faire preuve d’une grande motivation.

Quel était votre état d’esprit au moment de vous lancer? Regrettez-vous cette «époque»?

«Non je ne regrette rien, et rien finalement n’a changé, c’est tous les matins qu’il faut se lancer!»

Les inscriptions au 10x6 Profession: passionné(e) sont ouvertes sur le site du Paperjam Club.