«Je compte faire un retour à ma direction et à notre équipe de ressources humaines afin que ces nouvelles connaissances soient porteuses pour l’ensemble de notre société», a déclaré Jérôme Wiwinius, head of corporate sales chez Lalux. (Photo: Lalux)

«Je compte faire un retour à ma direction et à notre équipe de ressources humaines afin que ces nouvelles connaissances soient porteuses pour l’ensemble de notre société», a déclaré Jérôme Wiwinius, head of corporate sales chez Lalux. (Photo: Lalux)

Monsieur Wiwinius, pourquoi avez-vous choisi de participer à ce mini master en business administration (MBA)?

«Au sein de notre entreprise, nous nous sommes intéressés à ce genre de formation depuis un certain moment. Nous nous sommes beaucoup informés sur ce qui existait, et l’avantage de ce mini master en business administration proposé par Maison Moderne et Solvay, c’est que ce soit du local et donc organisé au Luxembourg.

Et puis, c’est une formation sur du court terme, qui se marie bien avec une activité professionnelle. Le programme est très intéressant, avec un nom prestigieux comme Solvay.

C’est une formation qui se marie bien avec une activité professionnelle.

Jérôme Wiwinius, head of corporate sales au sein de Lalux

Quelles sont vos attentes?

«Je souhaite approfondir mes connaissances en stratégie, marketing, développement client et en ressources humaines. C’est une excellente occasion aussi de pouvoir faire connaissance avec les autres participants et les professeurs de la Solvay Brussels School of Economics and Management.

Quels bénéfices retirez-vous des deux premiers jours de cours?

«Les premiers modules ont été très interactifs, avec un programme riche et des exercices de groupe intensifs. L’analyse Swot, par exemple, c’est quelque chose que nous appliquons en interne au sein de notre entreprise. J’en retire également de bons conseils en stratégie, notamment pour la partie mission de l’entreprise. 

Après ce mini MBA, je compte également faire un retour à ma direction et à notre équipe de ressources humaines afin que ces nouvelles connaissances soient porteuses pour l’ensemble de notre société.»