Massimo Russo: «Nous apprécions la contribution que cela donne à notre activité, mais surtout à l’écosystème des entreprises luxembourgeoises.» (Photo: OpenField)

Massimo Russo: «Nous apprécions la contribution que cela donne à notre activité, mais surtout à l’écosystème des entreprises luxembourgeoises.» (Photo: OpenField)

Pouvez-vous, en quelques mots, résumer l’activité de votre société?

Massimo Russo. – «OpenField est un cabinet de conseil en management des systèmes d’information créé pour répondre au besoin de modernisation des entreprises et des institutions. Pour cela, les aspects d’innovation et d’indépendance sont fondamentaux et nous permettent de répondre à des besoins en gestion de projets informatiques, sécurité des données et la transformation digitale, sans perdre de vue l’aspect business du client. 

Bien souvent, nos clients demandent notre expertise quand un souci se présente, mais il est difficile pour eux de ‘mettre le doigt’ sur celui-ci… parfois, il manque une vision globale du système d’information: la gouvernance, l’alignement avec le métier, les processus qui ne sont pas clairs et bien décrits ou simplement la stratification de plusieurs besoins et intervenants. 

C’est pourquoi nous proposons une expertise basée sur les bonnes pratiques reconnues comme ISO 27001, ITIL, GDPR, etc., sur lesquelles nous nous appuyons pour permettre aux clients de créer de la valeur ajoutée dans la pratique de leur métier au quotidien. 

Pour finir, nous mettons à disposition des consultants dans certaines fonctions-clés où les clients ont du mal à recruter (CISO/RSSI as a service, DPO as a service).

Vous venez de renouveler votre adhésion au Paperjam Club. Quelles sont les raisons qui vous ont poussés à le faire?

«Paperjam Club est un réseau professionnel qui permet de nombreux échanges professionnels avec les nombreux acteurs du Luxembourg, tant par le biais de workshops que de networking.

Nous apprécions la contribution que cela donne à notre activité, mais surtout à l’écosystème des entreprises luxembourgeoises.

L’apport du Club est aussi d’alterner des moments de réflexion et de travail, comme les workshops proposés périodiquement, à des moments de détente et de rassemblement autour d’un verre ou d’un moment artistique. 

Qu’y recherchez-vous? Et que pensez-vous pouvoir proposer aux membres que vous allez y rencontrer?

«Nous voulons en faire partie, d’une part afin d’être à l’écoute des autres entreprises pour aligner notre offre sur leur besoin et, d’autre part, pour leur faire profiter de notre expertise par le biais des workshops. Parfois, l’éducation de nos clients à la qualité passe aussi par ces rencontres.

Nous répondons à de nombreuses questions de la part de clients qui, au premier abord, n’ont pas l’habitude d’acheter du conseil et finissent par changer d’avis. Nous soulignons toujours que notre activité est comparable à celle d’un architecte ou d’un médecin: on pourra toujours s’imaginer et se laurer de faire tout ‘seul’, mais en réalité, on ne peut pas construire une maison en posant des briques sans avoir un projet.

Nous sommes donc à l’écoute de ceux qui ont eu des mauvaises expériences avec les consultants pour leur proposer finalement du pragmatisme.»