«Notre volonté est de favoriser l’adaptabilité, la pluralité des réponses, de varier les référents et les plaisirs.» (Photo: DR)

«Notre volonté est de favoriser l’adaptabilité, la pluralité des réponses, de varier les référents et les plaisirs.» (Photo: DR)

Monsieur Moreno, pourquoi avoir choisi d’exporter votre talent en dehors du Luxembourg?

«Notre travail à l’étranger résulte de l’accompagnement de nos clients qui souhaitent prolonger et partager notre collaboration effective sur le Luxembourg vers d’autres territoires. Cette implication à l’étranger nous permet de challenger de nouvelles thématiques et d’élargir le champ de nos confrontations.

Quelles spécificités prendre en compte lorsque l’on développe un projet architectural dans un pays culturellement différent?

«Nous suivons une approche évolutive et flexible adaptée aux besoins de chaque projet. Cette approche consiste d’abord à capter le genius loci, l’esprit du lieu. Le projet doit assimiler les forces en présence. Il s’agit de capter l’identité locale de façon à se fondre dedans avec plaisir. En outre, nous avons besoin de nous adjoindre les services de partenaires de qualité, capables d’assurer les meilleurs relais.

Peut-on «exporter» une architecture luxembourgeoise à l’étranger?

«Nous pouvons en tout cas exporter le savoir-faire luxembourgeois qui est multiculturel par définition. Le postulat de l’agence est de proposer des réponses et des offres globales à des problématiques locales identifiées. Notre volonté est de favoriser l’adaptabilité, la pluralité des réponses, de varier les référents et les plaisirs.»

Les inscriptions au 10x6: Les architectes luxembourgeois qui s’exportent sont ouvertes sur le site du Paperjam Club.