Kevin Ayeni: «Nous comptons maintenant 10 salles et nous continuons à examiner toutes les opportunités de nous agrandir.» (Photo: Basic-Fit)

Kevin Ayeni: «Nous comptons maintenant 10 salles et nous continuons à examiner toutes les opportunités de nous agrandir.» (Photo: Basic-Fit)

Tout va bien pour le groupe Basic-Fit, qui a révolutionné le monde du fitness en ouvrant des salles de qualité accessibles à des prix low cost. Désormais, il compte 565 clubs en Belgique, Hollande, France, Espagne et au Grand-Duché. Chaque année, 310.000 nouveaux membres rejoignent Basic-Fit, dont la croissance des recettes, selon une étude récente de KBC Securities, devrait être de 15% jusqu’en 2025. À cette date, l’entreprise devrait compter pas moins de 4.260.000 abonnés et générer un chiffre d’affaires d’un milliard d’euros.

Quelles sont les ambitions de Basic-Fit au Grand-Duché?

Kevin Ayeni. – «Nous comptons maintenant 10 salles et nous continuons à examiner toutes les opportunités de nous agrandir. Notre analyse actuelle porte avant tout sur les endroits où ne nous sommes pas présents. Plusieurs zones nous intéressent, et donc notre croissance au Grand-Duché n’est pas finie. Notre but est de couvrir au mieux l’ensemble du pays (mis à part une salle à Ettelbruck, Basic-Fit est surtout implantée dans la moitié sud du pays, ndlr).

Avez-vous adapté vos offres aux spécificités du marché luxembourgeois?

«Notre concept et notre stratégie sont les mêmes que dans les autres pays européens. Notre mission est de rendre le fitness accessible à tout le monde. Notre dernière campagne est d’ailleurs intitulée ‘Ouvert à tous’. Nous ne voulons pas faire de distinction entre nos membres.

Qu’est-ce qui fait le succès de Basic-Fit?

«Les avantages de Basic-Fit semblent plaire aux Luxembourgeois et aux travailleurs frontaliers: un prix bas, mais un matériel de qualité dernier cri, de nombreuses salles, une carte qui donne accès à toute la famille... Mais il semble que c’est aussi l’aspect ‘international’ qui séduit au Luxembourg, le fait de pouvoir utiliser sa carte et son abonnement dans les autres pays où nous sommes implantés.»