Du jour au lendemain, face à la propagation de la pandémie, notre vie professionnelle s’est retrouvée bouleversée. Les entreprises ont dû s’adapter et la plupart d’entre nous ont découvert «le travail à distance», de nouvelles manières de collaborer, d’organiser son travail au quotidien. De quoi remettre profondément en question les modes de travail habituels.

Révolution ou évolution?

Un an et demi plus tard, le changement opéré apparaît différent du «nouveau normal» attendu. Progressivement, les salariés ont repris le chemin du bureau et les organisations se préparent à la levée des moratoires accordés par les administrations fiscales voisines au Luxembourg permettant le télétravail des frontaliers. Peut-on dès lors parler de révolution ou bien d’une évolution de notre manière de travailler?

Les questions qui se posent, vis-à-vis de cette nouvelle réalité, dépassent largement la seule question du télétravail et de la flexibilisation du temps de travail. Enjeux fiscaux, réglementaires, ainsi que tous les aspects liés à la cybersécurité sont autant de sujets auxquels les entreprises doivent se préparer.

Il est en effet important de considérer les limites existantes, qui sont de diverses natures. Si l’on évoque régulièrement le nombre de jours tolérés par les administrations fiscales frontalières pour déterminer les possibilités de faire du télétravail, il ne faut pas oublier qu’il existe d’autres contraintes, liées à la législation sociale et au droit du travail, voire encore à l’organisation de l’entreprise. Au niveau des secteurs réglementés, des considérations relatives à la protection des données doivent aussi être prises en compte.

Tous ces enjeux seront évoqués et de nombreux éléments pratiques seront partagés à l’occasion du podcast Arendt We Live, à suivre le 11 novembre prochain.

Intervenants:

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, Partner, Banking & Financial Services

, Partner, Employment Law, Pensions & Benefits

, Partner, IP, Communication & Technology