Naouelle Tir, directrice générale adjointe de Prolingua. (Photo: Simon Verjus/Maison Moderne)

Naouelle Tir, directrice générale adjointe de Prolingua. (Photo: Simon Verjus/Maison Moderne)

Dans le cadre de l’événement «Delano Live: Philip Crowther and multilingualism» organisé par le Paperjam + Delano Club le jeudi 19 mai, Naouelle Tir, directrice générale adjointe chez Prolingua, partage ce qui l’inspire.

Pourquoi avez-vous associé votre marque à cet événement?

 «Lorsque nous avons contacté le journaliste plurilinguiste Philip Crowther en décembre, et qu’il a eu la gentillesse d’accepter notre invitation, notre choix s’est naturellement porté sur un Live Delano. En effet, c’est l’un des rares événements qui s’adresse à la communauté anglophone, très présente à Luxembourg. Mais aussi, plus globalement aux 160 nationalités présentes ici.

Et qui de mieux que Monsieur Crowther pour exprimer l’importance de l’apprentissage des langues?!

Comment se déroulent les cours chez Prolingua?

«Il y a plusieurs sortes de cours:

— Les cours collectifs de langue généraux en petits groupes de huit personnes maximum: en nos locaux, ou à distance quand ce n’est pas possible. C’est le gros avantage du phygital qui permet à nos apprenants de venir sur place, ou de se connecter à distance en cas de télétravail ou d’imprévu.

— Il y a aussi les cours sur mesure, en entreprise en présentiel ou à distance, au choix de l’apprenant ou de la société. Dans tous les cas, la qualité, la liberté d’apprentissage et la flexibilité sont des notions primordiales chez nous.

Le multilinguisme est l’une des richesses culturelles du Luxembourg ce qui en fait le pays idéal pour apprendre une nouvelle langue. Avez-vous pour projet d’inclure de nouveaux cours de langues dans votre catalogue de formation?

«Nous proposons d’ores et déjà un catalogue de 10 langues d’apprentissage! Actuellement, le top quatre des langues les plus demandées est: le luxembourgeois, le français, l’allemand et l’anglais.

Il faudra toutefois garder en vue les prochains flux migratoires qui risquent de changer la donne. Mais nous aurons tout le loisir de nous adapter en cas de besoin, car nous avons l’agilité pour le faire.»