Simone Schmitt, avocate chez Linklaters, court en moyenne 50km par semaine, souvent très tôt le matin avant de se rendre au bureau. Le running, elle l’a découvert pendant ses études à Paris, et depuis, elle n’a plus cessé de le pratiquer.

Comme beaucoup de coureurs, Simone Schmitt, avocate d’affaires chez Linklaters, s’est mise à la course à pied pour la facilité qu’elle procure par rapport à d’autres sports (mettre ses baskets, descendre dans la rue et… un peu de courage).

Elle a donc démarré il y a plus de 10 ans, au cours de ses études universitaires à Paris. Sportive de nature, elle cherchait un sport qui lui permettrait de remplacer le saut d’obstacles qu’elle pratiquait depuis très jeune. Entre l’équitation et la course de fond, il n’y a évidemment pas photo.

Et comme beaucoup de personnes qui découvrent les plaisirs de la course, elle n’a plus décroché. À 32 ans, elle court en moyenne 50km par semaine, répartis entre quatre à cinq séances, dont une de 20km le week-end. Des séances qu’elle programme tôt le matin ou sur le temps de midi.

Un rythme qui lui permet de se jauger en compétition. Après avoir couru de nombreux «semi», elle s’est testée sur la distance reine du marathon à l’automne 2017 entre Nice et Cannes, puis sur le Jungfrau Marathon, une compétition évidemment plus coriace dans les Alpes suisses (Interlaken).

Aujourd’hui, comme elle nous l’explique dans l’interview vidéo qui lui est consacrée, son grand rêve serait de pouvoir participer au Marathon des sables, une course à étapes de 250km environ dans le désert marocain.

Cet article est issu de la newsletter Paperjam Running, le rendez-vous mensuel pour suivre l’actualité du running au Luxembourg.